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Une interview du fondateur de Gaiarome sur la crise du Covid, sur l’avenir des médecines naturelles et l’évolution des consciences.
La conscience de l’humanité doit évoluer
Dans cette interview donnée par le fondateur de Gaiarome à l’asbl Revivance (aujourd’hui disparue), plusieurs grands thèmes sont abordés. De la crise du covid et ce qu’elle a révélé sur le pouvoir en place, aux besoins fondamentaux des humains non respectés.
Eric De Ruest, fondateur de Gaiarome a été invité également à présenter son chemin de vie et les différentes étapes qui l’ont conduit à s’investir dans la santé citoyenne.
De l’écologie militante à la sagesse du végétal
Un parcours qui a évolué de l’écologie, qui était pour lui un besoin de réconcilier l’humain avec l’ensemble du vivant, afin de les soigner mutuellement, vers la médecine spirituelle, qui vise à apprendre de la nature pour soigne l’humain. C’est dans cette vision d’un cercle vertueux que s’inscrit sa pensée : Un humain qui soigne ses blessures émotionnelles sera plus à même de prendre soin du vivant, sous toutes ses formes.
La nécessité du contact humain
Durant la crise du covid, est apparue comme incontournable la nécessité de la présence humaine pour la survie psychologique de l’individu. Et les huiles essentielles ont permis durant et après cette crise, assimilable à du terrorisme à l’échelle mondiale, de ré-équilibrer des émotions pour le moins mises à mal. Et au delà, permettre d’améliorer les conditions de plusieurs pathologies liées au virus (issu sans doute d’un laboratoire) et aux effets secondaires dramatiques de l’injection expérimentale.
Différentes médecines complémentaires
Il n’est pas souhaitable d’opposer les médecines mais au contraire, il est temps d’avancer vers une vision plus globale de la médecine afin d’intégrer les pratiques traditionnelles et naturelles. Et bien plus encore, il est grand temps de laisser le choix à chaque personne de ce qu’elle veut pour sa santé, de ce qu’elle estime souhaitable. le terrorisme médical auquel nous avons été confronté durant la crise du Covid était tout sauf de la science. Habeas corpus bon sang !
Un ambassadeur du monde végétal et spirituel
À partir du moment où l’on comprend que la matière est un phénomène de la conscience, il devient alors possible d’embrasser une vision du monde qui considère que tout ce qui perceptible dans le monde matériel est conscience. Rejoignant par là la compréhension traditionnelle des anciens. Et c’est à cela que s’emploie Eric De Ruest aujourd’hui. Favoriser une approche subtile du monde afin de le réparer, de nous réparer et d’enfin construire un monde accueillant, civilisé et galactique.
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