Parlons d’aromathérapie et de l’évolution positive d’une partie du monde médical à son égard.
Il est de plus en plus courant dans mon activité de recevoir des personnes envoyées par leur médecin. Ce que je soulignais dans une publication récente.
Là où je pense que l’on marque également des points collectivement, c’est parce que le monde agricole prend également le virage aromatique. Ce qui était marginal il y a quelques années semble aujourd’hui atteindre des proportions de plus en plus larges.
L’usage des huiles essentielles pour prendre soin des animaux a rapidement fait partie de mon paysage professionnel puisque mes tout premiers clients étaient un couple d’agriculteurs. Qui depuis reviennent chaque année faire provision au printemps d’une sélection d’huiles essentielles anti-microbiennes et anti-inflammatoires. C’est un choix conventionnel qui apporte un réel mieux-être pour leurs bovins.
Là où cela devient intéressant, c’est lorsque le monde vétérinaire commence à proposer aux agriculteurs l’usage d’huiles essentielles pour des traitements de fond. Il faut entendre par là que c’est enfin connu et reconnu. Récemment, un agriculteur de la région souhaitait, sous le conseil de son vétérinaire, obtenir de l’huile essentielle de semence de carotte pour son troupeau. C’est remarquable. Parce que dans le cadre d’un traitement de fond visant à assainir un organisme, qu’il soit humain ou animal, ce choix mérite d’être souligné comme étant l’un des plus pertinent qui soit.
Le bien-être animal comme marqueur d’évolution
Pour terminer sur une note toute aussi positive, et ce, quel que soit notre avis sur l’élevage et la consommation de viande : C’est l’impression que de nombreuses consciences se réveillent quant au besoin de respecter les animaux.
Cela passe par l’évolution des pratiques de bien-être que l’on constate dans un nombre croissant d’élevages : Musique, espaces de vie repensés pour plus de confort, hydrolats et eaux florales pour apaiser les émotions, etc.
Ce faisant, il se pourrait bien que nous démontrions devenir nous même plus humains.
Gandhi disait : « On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux ». Saluons donc tous ces petits pas qui nous font grandir.
